Le parc de 7 hectares

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7 hectares nichés en plein centre-ville offrent au promeneur le souvenir nostalgique d’une splendeur disparue.

S’il ne reste rien du jardin à la française qui ornait la terrasse, des vestiges subsistent du parc à l’anglaise crée à la veille de la révolution.
On devine sous les frondaisons, le lit des rivières « à l’anglaise » ; ça et là, des allées de tilleuls s’enfoncent dans les sous-bois.
On aperçoit le fantôme d’un pavillon raffiné qui a autrefois accueilli des fêtes impromptues données par Monseigneur l’évêque et qui ne demande qu’à revivre.
Il suffit de suivre les conseils du poète Dellile, à qui le parc du château de Meung a inspiré ces vers et de se laisser porter :

« Avez-vous donc connu ces rapports invisibles des corps inanimés et des êtres sensibles ?
Avez-vous entendu des eaux, des prés, des bois, La muette éloquence et la secrète voix ?
 »Jardins – Jacques Delille (poète du XVIIIème)


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